Aide humanitaire

La migration peut être volontaire (aussi appelée économique) ou involontaire (forcée). Dans ce dernier cas, il existe une force extérieure (une guerre, une crise humanitaire, une persécution religieuse, politique, raciale ou ethnique, une situation de violence généralisée, etc.) qui pousse une population donnée à quitter son pays d’origine. ) qui pousse une population donnée à quitter son pays d’origine. Dans cette circonstance, l’État de destination ne peut plus exercer pleinement son pouvoir de contrôle des migrations, qui se résume à la décision d’admettre ou non le migrant dans le pays et d’y rester, et il a le devoir d’assurer la protection du droit international, du droit des droits de l’homme et des droits des réfugiés (Déclaration universelle des droits de l’homme (1948), Convention relative au statut des réfugiés (1951), ratifiée par 147 États).

Il y a aujourd’hui 70,8 millions de réfugiés dans le monde, des personnes forcées de quitter leur pays d’origine. Parmi eux, quelque 25,9 millions ont obtenu le statut de réfugié, dont plus de la moitié ont moins de 18 ans.
Il y a également des millions d’apatrides qui se sont vu refuser la nationalité et l’accès aux droits fondamentaux tels que l’éducation, la santé, l’emploi et la liberté de circulation.

Les principaux besoins sont bien entendu l’accueil, le dépassement effectif de l’approche d’urgence et une réelle intégration dans le respect de la diversité ethnique, culturelle et sociale existant dans les territoires cibles.

HOPE vise à promouvoir les droits de l’homme des réfugiés et des personnes déplacées en leur apportant un soutien intégral en fonction de leurs besoins spécifiques.

Operations: Colombie, Liban